Prévisions - Le marché immobilier genevois en 2026 : entre rareté et stabilité
Alors que l’économie suisse et le marché immobilier continuent d’évoluer, voici un panorama pour Genève en 2026 : les grands facteurs, les prévisions et ce que cela signifie pour les investisseurs et pour les familles.
1. Contexte général
L’offre de logements en Suisse est contrainte : selon une analyse, le nombre de logements disponibles devrait tomber à environ 38 000 unités en 2026 (contre ~44 000 en 2023). allnews.ch+2inved.ch+2
L’activité de construction redémarre timidement : pour 2026, une hausse modérée est envisagée (+2,7 % à +3,0 %) pour le nombre de logements en construction. PwC+1
À Genève, la pression reste forte : la demande reste élevée, notamment dans les biens de qualité ou bien situés, ce qui soutient les prix.
2. Taux d’intérêt et conditions de financement
Les taux hypothécaires en Suisse ont connu une légère hausse depuis 2022, puis ont commencé à se stabiliser ou à légèrement baisser. estimation-bien-immobilier.ch+2fr.houzy.ch+2
Selon la banque UBS, la Banque nationale suisse (BNS) ne devrait pas réintroduire de taux directeurs négatifs, et les taux hypothécaires devraient évoluer latéralement dans un contexte de taux directeur proche de zéro. Brazil+1
Pour un investisseur ou propriétaire, cela signifie : l’accès au crédit reste favorable (à un niveau historique bas ou modéré), mais ne s’attend pas à une baisse spectaculaire des coûts d’emprunt.
3. Prix immobiliers et perspectives à Genève
Pour la Suisse dans son ensemble, la prévision est d’une hausse modérée des prix (ordre de +2 % à +3 % pour 2026-2027) à cause de la tension sur l’accessibilité à la propriété. Brazil
Un facteur clé pour Genève : rareté du logement + fort pouvoir d’achat + attrait international = une dynamique favorisée pour les biens bien situés et de qualité. Par exemple, un article note que dans les grandes villes comme Genève, le taux de vacance est désormais inférieur à 1 %. inved.ch
Malgré cela, la croissance des prix devrait être plus modérée qu’auparavant car les marges de hausse sont plus réduites (coûts d’occupation élevés, prix déjà haut, etc.).
4. Risques & points à surveiller
Une remontée inattendue des taux d’intérêt (ex. en cas de rebond d’inflation ou de politique monétaire plus stricte) pourrait freiner l’accessibilité à la propriété et influer sur la demande locative.
Une montée des coûts de construction ou d’entretien (pressions sur les prix des matériaux, main-d’œuvre, rénovations énergétiques) peut peser sur les rendements nets.
Une offre nouvelle plus élevée que prévue ou une régulation locale (fiscalité, droit de location, densification) pourrait modérer la dynamique haussière.
Spécifiquement à Genève, les évolutions transfrontalières, les flux de travailleurs frontaliers, et les politiques cantonales (ex. droit de construction, zones de densification) restent des variables à surveiller.
5. Conclusion
Le marché immobilier genevois en 2026 s’annonce stable mais tendu.
Les conditions de financement restent très favorables, l’offre demeure rare.
Pour un investisseur, c’est une très bonne fenêtre d’opportunité, à condition de viser l’excellence dans le bien et d’être conscient que le rendement viendra aussi beaucoup de la qualité et de la gestion, plus que d’un « effet hausse spectaculaire » des prix.
Pour une famille, les coûts liés au financement restent très actractifs dans un marché haussier.
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